J'aimais beaucoup Rubato. Je l'aime toujours d'ailleurs, encore plus qu'au début même. Mais pour l'instant, je ne suis pas totalement … Comblé. Il m'apporte beaucoup : amour, joie, nuit à l'hôpital … Mais en même temps, je ne peut pas encore le monté. Et je ne pourrais pas être totalement en harmonie avec lui avant au moins un mois (si tout va bien). J'aime cette sensation de liberté que je ressens sur un cheval. Cette sensation de liberté, de pouvoir voler, de pouvoir faire l'impossible … Elle ne m'avait pas manquer avant. Parce que j'étais trop triste pour voire que je ne la ressentait plus. Mais maintenant que je suis de nouveau épanouie, cela me manque. Beaucoup.

J'y réfléchis depuis que j'ai décidé d'acheter un cheval. J'hésitais entre le refuge, le maquignon. Et puis je m'étais dis que, tant qu'à acheter un cheval, autant construire quelque chose. Alors j'étais allé au refuge. J'avais tout de même continué d'y réfléchir. Je n'avais pas beaucoup de temps. L'argent, ça, c'est pas ce qui manque. En même temps, dès que j'aurais de nouveau usage de mon bras, je pourrais être à dix-neuf heures trente à l'écurie : il me suffit de faire mes devoirs pendant la permanence du soir. Ensuite, j'ai jusqu'à vingt-trois heures. Ca me laisse quatre heures. Une deux heures pur rubato, deux heures pour le nouveau cheval, plus une heure le matin grâce à laquelle je pourrais les mettre aux prés, dès que l'été sera de retour. Sans compter les samedis et dimanches où j'aurais toutes la journée de libre.

Si bien que le matin, en me réveillant, j'étais décidé à aller voir le maquignon. Juste … Voir. Bien sûr, comme vous pouvez vous l'imaginez, je n'ai pas fait que regarder.

J'y suis donc allé avec ma mère, le soir. Il était tard quand on est arrivé (onze heures du soir) mais nous avions appelé, et quelqu'un allait nous recevoir. J'avais passer du temps avec Rubato, l'avais laissé se défoulé dans le manège avec Ripley, la neige ayant recouvert entièrement le paddock. J'avais changé son box, j'avais nourris les deux messieurs, puis j'était partit. Donc, après une demi heure de route, notre voiture s'est gare dans la cour de l'éleveur. A peine sommes-nous descendues qu'un homme en tenue d'équitation nous a accosté. Tout étais allumés, on entendait pas un bruit. Ca se sentait, pourtant, qu'il y avait pleins de chevaux. Non pas que je n'aime pas. J'adore cette odeur. Elle est réconfortante.

Il nous a emmené voir les chevaux. Je lui ai expliqué que le dressage n'était pas vraiment mon truck, donc on est tout de suite allé voir ceux qui étaient bon dans les autres disciplines, ainsi que les polyvalents. Attention, je ne suis pas nul en dressage ! Juste que je n'aime pas le dressage. Je trouve que c'est imposer sa dominance, comme avec le horse-ball et les courses, où les chevaux se reçoivent coup de cravache sur coup de cravache. Pour moi, un cheval a besoin de liberté. Et je pense qu'il ressent plus cette liberté en sautant, en faisait des randonnés ou tout simplement en participant à des pony-games. Enfin, chacun son avis.

Donc, nous marchions dans l'allée nord pendant que monsieur nous présentait chaque cheval. Ils étaient de toutes les couleurs, de toutes les races, de toutes les tailles. Certain étaient dociles, d'autres un peu plus têtus, mais tous avait un bon fond. Je les regardais, les caressais, entrais dans le box. Aucun ne m'a vraiment séduite. Puis je l'ai vu. Noir, tache blanche sur le museau. Je suis tombé en arrêt et j'ai plongé mon regard dans le siens. J'ai eu l'impression de le revoir, lui … Tip-Top. Mon premier cheval.

Tip-Top, je l'ai eu pour mes treize ans. Il avait sept ans, était bai foncé et avait juste une tache blanche sur le front et sur le naseau gauche. J'ai passé les deux premières années avec lui dans mon club, ma mère m'ayant acheté des cours particuliers. Puis j'ai fait des compétitions pendant deux ans, jusqu'à mon accident. Je n'avais pas fait assez tourné Tip-Top dans le virage et le temps se se mettre face à l'obstacle, la barre était trop proche. L'étalon a tout de même essayer de sauter, mais j'ai perdu un étrier et je suis tombé avec lui sur les barres. Lui n'a rien eu, mais moi, j'ai du aller à l'hôpital pour une jambe cassée.

C'est là que nous nous sommes vraiment rapproché. Je passais tout mon temps libre dans son box. J'y faisait mes devoirs, étudiait mes cours, dessinais, écoutait de la musique. Il m'arrivait même d'y jouer de la guitare,  Tip-Top aimant beaucoup le son qu'elle faisait. Une amie à moi le montait pour le détendre, mais toujours devant moi. Elle, son truck c'était le dressage. Donc des fois, quand elle avait envie de faire du saut, elle montait Tip-Top. Et quand j'avais envie de m'améliorer un peu en dressage, je montais Madhi, sa jument.

Bref, j'ai donc passé trois mois avec un plâtre, puis de nouveaux trois mois pour la rééducation. Ensuite, je ne devais pas monter pendant six mois, avec ensuite interdiction de faire des compétitions pendant un an. J'ai donc passé un and avec lui dans le box et en ballade en main, puis un an avec lui à faire des parcours de cross ou de CSO, à faire de longues ballades en forêt … A la fin, nous étions inséparable.

J'ai ensuite repris les compétitions pendant deux ans puis, quand j'ai remarqué que Tip-Top en avait marre, j'ai décidé d'arrêter. Pendant trois ans, nous avons coulé le parfait amour. Je lui ai tout donné. En dix ans, il a eu plus de trente couvertures (trois par hiver, rien que ça), douze filet et brides tous différents que j'utilisais à tour de rôle, une dizaine de selle et un nombre incalculable de tapis. Et lui aussi m'a tout donné. Il me faisait tout le temps rire, me redonnait le sourire rien qu'en me regardant alors que je venais de passer ce qui me paraissait, à l'époque, être la plus mauvaise journée de ma vie.

La pire journée de ma vie c'est passé en hiver. J'avais harnaché Tip-Top avec mon filet et ma selle préféré, son couvre reins et son tapis bordeaux, je lui avais mis son collier de chasse (par ce que un, j'avais l'habitude, et deux, même sa selle faite sur-mesure avais tendances à reculer). Bref, on est partis en forêt, avec dix centimètres de neige. Je le faisais marcher, voir trotter de temps en temps, quand je connaissais le chemin par cœur, et que j'étais sûre qu'il n'y avait pas de plaque de verglas. Nous avions traversé la forêt, puis nous étions allés en haut près d'une route. Enfin, nous étions en hauteur, à côté de nous il y avait d'un côté la forêt, de l'autre une grande descente qui se finissait sur une route.

A un moment, la descente est devenu beaucoup moins raide, et la route s'éloignait, alors nous sommes descendus. Le sol étant plus plat, je l'ai fait trotter pour qu'il se réchauffe un peu. Puis la route est revenue et, au lieu d'attendre que la pente redeviennent mois raide, j'ai demandé au baie de monter. Au début, il n'a pas voulu. Puis, décidant qu'il me faisait confiance,  il s'est engagé. Au début, tout allait bien. Je me penchais légèrement en avant, l'encourageait en lui parlant. Puis son sabot a glisser et il est tombé. Je suis passé sur son encolure, et alors que je croyais que la neige nous avait immobilisés, elle s'est affaissé et on a commencer à glisser. Tip-Top a essayé de se relever, mais le seul résultat a été que j'ai été projeté par terre. Mon pied était coincé dans l'étriller, et quand mon cheval a recommencer à glisser, je l'ai suivis.

Nous allions de plus en pus vite, puis nous avons finis par nous arrêter. J'étais assommé, donc je ne me souviens pas. Ce que je sais, c'est ce que ma mère m'a dit. Tip-Top s'est relevé et, totalement paniqué, il est partit au galop, moi accroché à l'étriller. Il me donnait coup de sabot sur coup de sabot, mais aujourd'hui, je ne lui en veux pas. Surtout vu ce qu'il s'est passé après. Un camion arrivait à grand allure sur la route plaine de verglas. Quand il a vu le bai, il a klaxonné en pensant que ça le ferait déguerpir. Puis il m'a vu, trainée au sol, et a commencé à freiner. Mais il était trop tard. Tip-Top s'est cabré, le camion lui est rentré dans le ventre et sa nuque s'est brisée sur le coup.

J'ai passé un mois dans le coma, six mois à l'hôpital à cause de mes fractures et plaie. En quand on m'a dit que je pouvais partir, je n'étais toujours pas remise. J'étais blessé, de l'intérieur. Et tous les soirs, quand je regardais le plafond, que je fondais en larme, cette douleur me bouffait un peu plus. J'avais tuer mon cheval.

Ma mère a posé sa main sur mon épaule et m'a fait revenir à la réalité. Elle a regardé le cheval à son tour. « On dirait ... » J'ai regardé l'écriteau accroché à la porte. « Pearl. C'est Pearl. On ne dirait personne. » Ma mère s'est tue. J'ai appelé monsieur. Je lui ai montré la jument. « Pearl est une belle jument qui a un bon potentiel. Elle a eu de nombreux propriétaire, qui l'ont tous revendus. Pourtant, je l'ai montée, et elle est génial.  » Il m'indique que je peut rentrer dans le box, ce que je fais après un cours moment d'hésitation. La jument me regarde entrer en pointant ses oreilles vers moi. Je sens mes yeux me piquer tellement elle ressemble à Tip-Top. Elle est légèrement plus foncé, légèrement plus petite, c'est une femelle … Mais je vois tellement d'amour à donner dans ses yeux …

Je cligne des yeux et refoule mes larmes. La jument sent ma tristesse enfonce son museau dans mes chevaux, me soufflant sur le cou. Je lui caresse le chanfrein, le front, les côtes. J'inspecte chaque parcelle de son corps pour voire si elle va bien, passe même sa main sous sa couverture. L'homme me regarde derrière la porte du box. « Elle a l'air de bien vous aimer ! Vous voulez la monter pour … L'essayer, si je puis dire ? » Je lui montre mon bras en écharpe.  « Ce n'est pas un problème. C'est juste pour que vous marchiez avec elle, et que vous trottiez sur quelques foulés, afin de voir si le courant passe. » J'ai accepté.

Il m'a aidé à l'harnacher, à la seller, puis il nous a emmené dans le manège. Il m'a fait la courte échelle pour que je puise monté puis m'a laisser faire. Pearl était très calme. Je l'ai fais passer au pas sans problème. Elle obéissait quand je lui disait de tourner - et pourtant si elle n'avais pas compris, je n'aurais rien dis, étant donné que là ça ressemblait plus à de la mont Western qu'à autre chose - puis je l'ai faite passer au trot. Elle était super agréable. J'arrivais sans problème a trotter enlever, à rester assise. Je lui ai fait  faire des cercles, des diagonales, restant sur les figures simples. Puis je lui ai demandé un dépars au galop. Elle allait un peu trop vite à mon goût, alors je l'ai fait ralentir sur un petit cercle, puis l'ai laisser trouver son rythme. Elle était parfaite.

Je suis descendu, ai enlevé ma bombe et ai félicité la jument. Nous l'avons rentré au box puis nous sommes allé signé le contrat de vente. Demain, à midi, elle serait dans mon écurie.

J'ai passé une heure à déblayer la cours afin que le van puisse venir et partir sans encombre. J'ai ensuite installé un grillage autour de la chatière afin que Ripley puisse sortir la nuit, puis me suis assise dans le box. Voilà une heure que j'attend qu'ils arrivent. Ils sont en retard. D'une heure, ce qui peut ne pas être beaucoup pour certain, mais j'étais tellement pressée qu'elle arrive ! J'avais déjà fini trois dessins de Rubato, un de lui à l'arrêt, un autre où il était au trot, et un dernier de lui se roulant dans la neige. J'avais mis en route mon lecteur depuis un quart d'heure et écoutait la même chanson en boucle. Je la fredonnais en tapant le rythme avec mon pied, essayant d'évacuer mon stress comme je le pouvais. Oui, je stresse pour tout, et surtout pour un rien. Mais bon, je suis comme je suis.

J'entend le camion arrivé et sort du box à toute vitesse. Ripley, couché à côté de moi, me regarde partir en levant la tête. J'accueil  chaleureusement le bonhomme qui sort du camion, vais mettre Ripley à sa place, dans la sellerie, puis j'aide à ouvrir le van. Pearl est tout aussi ridicule que Rubato à son arrivé, voir plus. Mais tout comme lui, je l'ai trouvée magnifique. Monsieur bonhomme est vite reparti, me laissant seule avec la beauté.

Je l'attache à l'un des barreaux de son box, qui se trouve être le box en face de celui de Rubato, puis je lui enlève toute ses protections. Je suis beaucoup moins attentive à ses réactions qu'avec Rubato, Pearl n'étant pas une jument à problème. Mais je remarque tout de même qu'elle fait très attention à ce que je fait. Et je lui parle aussi. Au moins autan qu'à Rubato.

Je ne sais pas trop ce que je vais faire avec elle. Je vais chercher ma deuxième boîte de pansage (parce qu'on ne sait jamais, si elle a de parasites, il ne faudrait pas que Rubato en attrape, et puis voilà quoi) et commence ) la brosser. Je passe l'étrille doucement sur ses parties charnues. Une ballade ? Oui, pourquoi pas. Cela la détendrait sûrement.

Je m'attaque à ses crins, les lui démêlement longuement, puis passe le bouchon sur son corps. Je peut peut-être lui faire sauter un ou deux obstacles. Des croix et des barres au sol, pour la première fois. Je lui passe ensuite la brosse douce, regardant si elle n'a pas de problème. Elle est nickel. Ne sachant toujours pas ce que je vais faire, mais étant sur que je vais la monter, je vais chercher son équipement. Je prend sa selle, puis je retourne chercher son filet, son tapis, ses guêtres. Puis je me souviens de ce que m'a dit le vendeur, et je vais chercher son amortisseur.  

Je lui pose doucement le tapis sur le dos, met en place l'amortisseur puis place la selle. Je sangle une première fois, sans serré. Je lui met les guêtres, luis met son filet, puis ressert légèrement la sangle. Pearl est calme, attentive. Elle ouvre immédiatement la bouche, ne gonfle pas le ventre, donne ses sabots, que demandez de mieux ?

Je met ma bombe et monte sur son dos. Je me rend compte que j'ai toujours mon écharpe. Vous devez la porter jusqu'à dimanche, m'avait dis le médecin. Mais vous voulez savoir ? J'ai ce qu'on appelle la flemme. Enfin, c'est pas tout à fait ça, mais c'est le premier mot qui me vient à l'esprit. Je décide donc de détache mon écharpe. Je me penche sur le côté pour la déposer sur la porte du box puis fait passer Pearl au pas avant de ressangler. On va marcher tranquillement dans la nature, je la monterais, puis je la mettrais dans son paddocks pour qu'elle fasse la connaissance de Rubato. Mais en attendant, c'est partit pour une ballade !

http://Ballade

Je descend de Pearl, la dessangle de six trous et enlève ma bombe. Je la pose par terre, enlève le filet de Pearl et lui met son licol. Je l'attache à l'un des barreaux du box, vais chercher ma boîte de pansage et, après l'avoir déposé près de la jument, j'enlève l'équipement de celle-ci. Je range la selle, le tapis, le couvre rein, le filet, les guêtres … Tous ses voyages me donne mal à l'épaule et je remet mon écharpe. Je passe ensuite longuement l'étrille sur le pelage noir de la jument, décollant chaque mèche de poil. Je finis ensuite le pansage, prenant mon temps, parlant à la jument.

La question inévitable de pose : comment la présenter à Rubato ? Vont-ils s'apprécier ? Je décide déjà de tenter le coup avec Ripley. Je place la couverture de la jument sur son dos et la fait rentrer dans son box. Je lui enlève le licol, referme bien la porte puis vais chercher Ripley. Quand j'ouvre la porte de la sellerie, il se précipite dehors, mais heureusement, j'arrive à attraper son collier avant qu'il parte au loin. Campé sur mes pieds et avançant doucement, je l'emmène vers le box de la jument. Celle-ci passe sa tête par-dessus la porte du box en m'entendant arriver. Elle reste confiante, même en ayant vu Ripley, mais quand j'arrive à une mètre du box, elle se recule et tape dans le box. Je fais coucher Ripley et lui ordonne de ne pas bouger. Le chien s'exécute et me laisse tranquillement aller voir Pearl.

La jument repasse la tète par-dessus la porte du box pour venir me voir. Je lui caresse le chanfrein en lui parlant calmement puis fait doucement venir Ripley. Le chien reste calme, donc la jument aussi. Elle le renifle, Ripley fait de même, et finalement, Pearl préfère rentrer dans son box. Ca viendra. Déjà, le premier contact s'est bien passé. Ripley repars, préférant lui aussi s'en allé. Il me jeté un regard puis pars en courant en direction des paddocks. Je le vois faire des bonds dans la neige, puis il disparait.

Je décide de faire les présentations dans les paddocks. Je rattache Pearl, la caresse, puis nous partons pour les paddocks.

http://Paddocks

Je ne fais aucun soin à Pearl, si ce n'est lui sécher le bas des jambes. Je la caresse longuement en lui parlant, puis la laisse pour aller chercher Rubato.

+ 1 fer
+ 3 confiance (Pearl)
+ 1 confiance (Ripley)

En arrivant aux paddocks, je prends le licol orange que j’avais laissé et entre. J’appelle Pearl, et celle-ci ne tarde pas à venir, accompagné de Rubato. Pendant ces deux mois, j’ai travaillé le dressage avec Pearl, afin de l’avoir bien en main, avec quelques petites ballades. Quant à Rubato, j’avais commencé l’éthologie : je lui avais appris les choses de bases comme partir à droite et à gauche, reculer, marché à l’épaule. J’avais aussi revu la mise du filet, et j’étais sûr de pouvoir bientôt le monter.

En tout cas, pour en revenir à Pearl, je comptais la voir au saut aujourd’hui. J’avais déjà eu un aperçu lors de notre première ballade, mais il neigeait, et on avait beaucoup marché avant – enfin, surtout elle. Donc ce serait sûrement différent. Je lui attache le licol, donne deux trois tapes sur l’encolure de Rubato puis emmène la jument vers les écuries. Je l’attache à un anneau à l’extérieur puis pars chercher mes brosses. Je lui enlève tous ses poils morts, lui lustre la robe, lui démêle chacun de ses crins et lui cure les sabots en pensant que le maréchal ferrant est censé dans deux jours. Rubato n’est pas ferré, donc ça va, mais cela fait déjà deux mois que Pearl a été ferré. Enfin.

Une fois que Pearl est propre, je la harnache, et direction le manège.

http://Manège

Une fois son pansage terminé, je la rentre dans son box afin qu’elle se repose tranquillement. Je lui caresse le chanfrein en lui chuchotant des paroles sans queue ni tête, enroule mes bras autour de son encolure puis, après l’avoir serré fort contre moi pendant plusieurs secondes, je la laisse tranquille. Je lave son mors, range sa selle, puis pars chercher le licol spécial pour l’éthologie avant d’aller, stick en main, retrouver Rubato.

+ 3 confiance
+ 1 santé
+ 1 fer