Quashemir. ┈ Des Hounts. ┈ Femelle. ┈ Cinq ans. ┈ OI. ┈ Gris moucheté. ┈ Un mètre soixante cinq. ┈ Nina.
Caractère
Quashemir est ce genre de ponette qui montre que tout va bien, alors qu'au fond tout va mal. Elle fait la fière, la chanceuse, et la jument épanouie alors qu'en fait elle appelle simplement à l'aide. Elle a été récupéré à L'Arche de Poé, pour voir si un changement d'environnement ne pouvait que lui faire du bien. Mais jusqu'à présent, elle n'a pas bougé de son paddock, elle ne cherche pas à rencontrer ses congénères de prés. Elle a donc besoin d'aide, pour retrouver la joie de vivre.
De toute façon, dans tout les cas, il y à toujours un début un tout. Eh bien pour moi, ce début commences aujourd'hui. Je n'ai pas beaucoup de temps à lui consacrer mais je vais faire de mon mieux. Ah, oui je ne vous est pas parler d'elle. Elle s'appelle Kentia, et c'est une nouvelle pensionnaire chez moi. Enfin plutôt, ma première pensionnaire. Je tiens, à l'aide ma partenaire, un refuge où l'on récupère des chevaux maltraités ou mal en points. Cette endroit pour une seconde vie, on l'a appelé L'Arche de Poé. J'ai acheté Kentia, pour montrer l'exemple, et surtout parce que j'avais eu comme un coups de foudre envers elle. Elle me donner envie de l'aider, et j'avais envie de lui donner une nouvelle chance.
Je me dirigeas vers son box, avec à la main, quelques brosses et une carotte. En passant ma tête par dessus la porte, je vis la petite jument qui mangeait, la tête enfoui dans le foin. J'avais beau faire un petit claquement de langue, ou même prononcer son nom, rien n'y faisait. Il s'était décidé à se braquer contre tout le monde, et ça commencer par moi. Je ne savais pas ce que je lui avais fais, et je ne comprendrais jamais. Elle ne voulais pas m'entendre, n'y même me voir. Je décida de franchir le pas de la porte, et de rentrer dans son domaine.
Je rentre, les idées bien en place et je savais exactement ce que je devais faire. Elle entendit le levier de la porte coulisser, elle tourna la tête d'un coups. Elle observait mes mouvements un à un, sans en laisser un passer à l'attrape. Tout en avançant, je la fixais sans laisser passer une seule de ses mouvements. Plus me m'approcher, plus elle devenait méfiante. J'étais maintenant à quelques centimètres d'elle, et elle se plaquait de plus en plus au fond du box. Je pris le licol, enleva la longe et avança vers elle. Elle leva la tête de plus en plus haut pour ne pas que je l'atteigne. Mais mon but n'était pas celui là. Je voulais simplement qu'elle comprenne que je suis là pour le bien, et non pour lui faire du mal. Mais ça, apparemment elle n'arrivait pas bien à le cerner.
Après quelques minutes à me débattre contre cette grosse bête, je décida de lui donner une carotte et de partir. De toute façon, ce n'étais pas en une séance avec elle que j'allais apprendre à la connaître et inversement. Je lui passa une caresse sur l'encolure, et partit. Mon rêve étant petite, c'était d'avoir un Domaine que j'aurais appelé le Domaine du Grand Mas. Ca aurait été un endroit où j'aurais pu sauvé tout les chevaux en danger, tous les aidés les uns comme les autres, et qu'il n'y est aucune différences; tout ça c'était mon rêve d'enfance. J'ai pu le réalisé, mais je ne pourrais pas tous les sauver, je le savais bien.
" Il me manque. C’est atroce, il me manque tellement. C’est pas par vagues, c’est constant. Tout le temps, sans répits. "