Aujourd'hui était la plus belle journée de ma vie. J'avais progressé dans le débourrage de Sauvage. J'avais gagner une partie de sa confiance. Malgré quelques fautes de ma part nous progressions vers le haut. Je débordait de joie. Après avoir fait une belle action en achetant Sauvage afin de lui donner une seconde chance et goût à la vie. En ce jours j'en fis une deuxième! Et oui après quelques économie, j'investis dans un nouveau pensionnaire un peu plus calme que mon bel étalon sauvage. Fuego ma nouvelle monture est un hongre qui montrerait d'un croyable compétence en saut et j'avais était attirée par son comportement curieusement calme. Mais j'avoue que j'ai eu beaucoup d'hésitation, Milano l'étalon hanovrien avait aussi fait briller mon coeur. Mais aujourd'hui j'ai favorisée la beauté intèrieur de l'hongre.

Assise sur la barrière qui longeait l'allée je m'amusait à enlever les pétales d'une rose en me demandant si j'avais un avenir avec les chevaux. Le bol bleu qui se trouvait au dessus de ma tête accueilli quelques nuages solitaires. J'écoutais les oiseaux chantait. Et oui j'adore écouter les oiseaux chantait. Je j'étais de furtif coup d'oeil vers les champs où broutait tranquillement Sauvage. Soudain une idée me vint à l'esprit. Et si l'étalon n'acceptait pas le nouveau pensionnaire. S'il était jaloux de Fuego! Et qu'il refusait de cohabité. D'horrible pensées me traversèrent la tête mais soudain j'entendis le crissement des pneus de camion dans la cours. Je descendit de la cloture et me précipita vers le van. Des coups de sabot provenait de l'intèrieur le coeur serrait j'espérait que l'équidé ne se soit pas blessé. Un éclair marron sortie du camion et Fuego se mit à hennir. La tête haute les oreilles en alerte il s'approcha de moi au petit trot.
-Le voyage l'a rendu nerveux, sinon il est adorable! Me rassura le conducteur qui remonta aussitôt dans son camion. Comme s'il était pressé de s'éloigner de ce cheval.

Seul perdue au milieu, de la cours un cheval chaud en main qui marchait bizarrement à cause de ses protections de transports. Je l'emmena dans son box où je lui enleva toute ses affaires. Puis je le caressa. Lui toucha toute les parties du corps où il pourrait avoir mal. Mais il avait l'ai désensibilisé. J'avais envie de le serrer fort dans mes bras parce qu'il ne montrait aucun signe de méfiance. Je lui massa le dos puis je remonta doucement vers ses temps. Une fois que Fuego se relaxa sous mes doigts. J'attrapa les brosses et commença par lui passé l'étrillé pour lui décoller le poil qui était recroquevillé sur lui même à cause la transpiration. Tellement qu'il avait chaud, et avec la température extèrieur basse. l'hongre fumé de la croupe. Une fois le poil aéré. Je passa au sabot et lui décrotta tout ses pieds. Je m'attaqua à sa crinière qui était en bonne état et je lui égalisa la queue. Une fois mon cheval tout beau tout propre. Je lui passa une couverture, pour qu'il tienne la nuit sans avir froid à cause du décalage de température. Je lui posa des bandes de repos par précaution afin de m'assurer que le voyage ne lui avait endolori aucun tendon.
- Voilà Fuego, tu es prêt pour passer ta première nuit ici ton voisin à côté c'est Sauvage mais pour le moment il dort. Tu le reconnaitra bien assez tôt!Lui soufflais-je.

Je lui tendis la main avec un friandise dans ma paume. Et épuisée par cette longue journée je me dirigea vers ma maison. Tout en m'assurant avant que mes deux chevaux avait à manger...

Je revenais des paddocks où je venais de lâcher Sauvage. L'étalon avait fait beaucoup d'effort ce matin et j'en étais heureuse. La joie emplissait mon coeur qui ces derniers temps avait était vide de toute merveilleuse émotion. Je distinguait Fuego qui venait de passer la tête par dessus la chaîne de son box. Avec lui je n'avais pas eut peur de laisser la porte ouverte. Ce cheval avait l'air calme en toute circonstance mais peut-être un peut speed pour certaine chose...

Je m'avança vers lui, et il tendis la tête pour sentir ma main. Je lui caressa le chanfrein et m'amusa quelques secondes avec ses longues oreilles. Fuego n'était pas petit du haut de ses 1m75 au garrot, il faisait ma taille. J'attrapa mon sac de pensage et en sortie mes outils. Je lui enleva sa couverture couverte de paille que j'alla taper dans la cours et nettoyer. En revenant je pris la brouette avec un pelle et un sac de luzerne pour nettoyer le box. Je lui fis un nettoyage exprès.
Ensuite je commença par l'étriller pour décoller les quelques poils qui était restés de la veille. Je lui passa le bouchon pour enlever toute la poussière qu'il avait accumulé en dormant allongé. Enfin je finis de démêler la crinière et de lui curer les sabots. Il était tous beau. Je lui mis des protections avant de l'harnacher. Je lui posa doucement la tapis, avec un amortisseur puis ej le sangla.
Fuego ne s'intéressa pas à ce que je faisais il regardait un peu plus loin les paddocks où galopait et s'amusé Sauvage. Heureusement que je lui avait mise des protections ce fou. Après avoir finis de poser la selle. Je lui mis le filet. J'envisager de sauter aujourd'hui pas très haut mais de quoi voir d'où provenait toutes ses rumeurs. Je lui passa le collier de chasse... Il était près! Toute heureuse je lui caressa longuement le garrot. Puis je le fis sortir de son box. Fuego hennis à plusieurs reprise pour appeler l'étalon qui lui répondis à son tour et tous deux commencèrent à discuter. Un peu au milieu de leur conversation je retenais le bel alezan qui commençait à vouloir rejoindre son copain pour s'amuser. Mon hypothèse était validé Sauvage c'était trouvé un copain c'est pour ça qu'il c'était calmé.

Nous traversâmes la cours sous leur hennissement qui me faisait vibrer les oreilles. une fois passé derrières le manège, ils arrêtèrent puisqu'il c'était perdu de vue. Je me mis en selle à l'aide de parpin en béton entassaient sur le sol. Puis nous partîmes au bas vers le terrain de cross...

Désolé j'étais tellement fatiguée hier soir que je n'ai pas eu le courage de finir ^^

Aujourd'hui j'avais peur, peur de savoir comment aller réagir Sauvage. La veille il c'était montrait très violent face à l'Alezan. Au départ il jouait tranquillement dans les paddocks et ça avait finis en combat. Sauvage avait ressortit son côté dominant, mais Fuego l'avait dominé de toute sa hauteur... Je sortis de mes pensées, j'avoue que l'étalon m'avait désarçonnée moralement. Je marchais en direction du box où j'avais ramené l'hongre dans la matiné. La tête passé par dessus sa chaine il me regardait, les oreilles en avant. J'étais contente, Fuego appréciée ma compagnie.

Je m'approcha de lui pris son licol et lui passa doucement. Je m'amusa à bouger ses oreilles comme j'aimais le faire puis ej lui souffla légèrement dans les naseaux. Quand un cheval souffle dans les naseaux de l'autre c'est pour ce faire accepter. Selon le souffle bien sûr, si vous soufflez voilement, il prendra ça comme une provocation au combat... Je le fis sortir de son box et je l'emmena près d'un carré d'herbe qu'il dévora vivement. Je posa la longe sur son dos et je commença mon pensage. Je pris l'étrille et je m'amusa à faire des ronds réguliers avec on aurait dit des bulles marron. Je passa le bouchon avec énergie pour enlever la poussière. Puis je m'attaqua au crin. Je les démêla pour que je puisse passer mes doigts dedans sans qu'il soit arrêté par un noeuds. Je lui cura les sabots qui était remplis de copeaux de bois et de terre. Je lui massa le dos comme à mon habitude. Je sentis sous mes doigts ses cervicales et je les compta. J'enleva quelques courbatures qui trainé.
J'alla chercher le tapis, l'amortisseur et la selle que je lui posa sur le dos. Je lui mis des protections, son collier de chasse et sa martingale que je devais essayer pour le saut. Je l'attacha à l'anneau devant sont box.Je partis moi même me changer puisque je n'étais pas dans une tenue correcte pour monter puis, je lui passa le filet. Une fois Fuego près, je le mis devant les briques de béton empiler sur lesquelles je prenaient appuis pour monter. Une fois en selle je décida d'aller faire une petite balade avant de me rendre sur le parcours de cross...