Je marchais à côté de Sauvage, il avait très bien travaillé aujourd'hui. J'étais vraiment fière de lui. Au retour nous étions repassé au box pour déposer ces affaires et lui mettre des protections à la place. L'étalon trotter à mes côtés tout en hennissant. Il était impatient de partir galoper tous seul. Il attend juste que je le lâche pour qu'ils partent faire le fou. J'ouvris la barrière du paddocks. Sauvage se cabra à plusieurs reprises, une fois en bas je le détacha et il parti comme un fou en donnant des coups-de-cul dans tous les sens. Il me chargea, pila devant et se cabra avant de repartir à toute vitesse. Il déraper dans les virages, hennissait et déboulé comme un fou dans le champs. Surprise par cette crise de joie, folie, l'étalon me redonna de l'énergie et je le regarda faire. Comme un fou on avait l'impression qu'il dansait avec la nature accompagnée d'un douce brise et du chant des oiseaux. Puis je partie m'occuper de Fuego.
J'étais avec Fuego, il m'avait montrer ces capacités en saut et j'en étais restait bouche bée. Ce jeune hongre avait de l'énergie et de la force à revendre. Une fois dans l'allée en terre qui menait au paddocks. Sur notre droite galoper Sauvage qui hennissait. Fuego commença à chauffer le caresse et lui dit "Oh!" à ce même moment l'étalon revint au triple galop faisant mine de vouloir sauter la cloture. J'ouvris la porte du deuxième paddocks où je lâcha Fuego. Il alla se rouler puis partie jouer avec l'étalon qui était e l'autre côté. Il galopèrent côte à côte malgré la barrière qui les séparaient. Ils me firent un beau spectacle. Fuego se mit à me faire un beau rodéo. Tandis que Sauvage se cabrait. C'est deux là faisait les fous.
Je décida de partir marcher dans la forêt à côté des paddocks pour laisser les deux chevaux en liberté. Je marcha sans but précis je suis venue ici pour réfléchir. Pour comprendre ma vie, j'ai redonné un sens à celle de Sauvage alors j'essaye de m'en redonner un à moi aussi. Je vis un lapin gambader, un cerf et une biche brouter un peu plus loin. Je fis demi-tours et j'entendis soudain plusieurs hennissement curieux. Je vis alors Sauvage se cabrant au dessus de la cloture montrant les dents, les oreilles couché. L'étalon essayer de reprend le dessus face au grand hongre élancé qui était à côté prise. J'entra dans les paddocks attrapa temps bien que mal. Je le sortit du paddocks et le ramena au box et je décida que ramener une couverture et des bandes à Fuego qui passerait la nuit en liberté...