Dans ma vie je n'ai jamais fais quelque chose de magique, une belle action, j'ai passé le début de ma vie à admirer les chevaux. C'est équidé fou, avec une grâce incomparable et avec chacun un comportement approprié: fougueux, mélancolique, calme ou dominant. Je décide d'aller à l'arche de poe une écurie où l'on peut aider des chevaux en difficulté. Très heureuse de pouvoir enfin faire une bonne action pour plus tard avoir des écuries avec des chevaux ayant des problèmes dans leur jeunesse. Tout les chevaux sont magnifique une jument en particulier Akeela d'Athènes attire mon attention. Quand soudain un hennissement sourd sortie d'un écurie un peu plus loin. Un étalon se cabrer, et taper contre la porte de son box effrayer je recula en un sursaut. Puis je compris que c'était lui mon cheval, se magnifique étalon à la robe doré. Je choisis Sauvage

Le cheval était complètement effrayé, je m'approcha doucement et ressaisie ma peur. Â un peu moins d'un mètre de sa porte l'équidé tourna en rond dans son box et tapa. Il était dans un piteuse états il avait besoin de sortir de se défouler même de retrouver sa liberté. Je réfléchis où je le mettrais dans les paddocks? Non il risquerais de sauter la barrière et après c'était les problèmes. Le rond de longe me sembla une bonne idée les barrières était haute et pratique. Je me décida à attraper le licol et ouvris doucement la porte du box. J'entra doucement en lui parlant à voix douce. L'étalon se retourna et me chargea. Prise de panique je recula et trébucha sur la marche du box. Celui-ci se cabra au dessus de moi et retomba juste à côté. Je me redressa et paralysée je resta planté là. Il se remit debout mais cette fois ci je ne bougea pas et lui fit face. S'il décidait de me taper, il me retomberait dessus de suite. Il retomba juste à côté et me fit face. Si je reculais il m'aurait impressionnée et il aurait gagné! Je ne bougea pas, ne broncha pas et le regarda doucement. J'aurais aimé le brosser mais il semblait se renfermé dans sa coquille dès que je voulais l'approcher. Je me décida à l'attraper avec le licol pour le faire sortir. Il tourna en rond pendant de longue minute avant de me faire face. Je lui passa doucement le licol, pris mon sac et le sortit doucement avant qu'il ne saute la marche. Une fois dehors il se cabra à plusieurs reprise avant d'accepter que je l'emmène vers le rond de longe...

En ce beau jour d'hiver Lys arriva enchantée une fois de plus de retourner à l'Arche de Poe. Sauvage était là dans son box en train de tourner en rond et taper contre les parois de son box. A mon arrivée il se cabra à plusieurs reprises avec toujours autant de détermination pour me faire fuir. Cette fois ci j'était décidée à m'opposer à lui et retourner travailler dans le rond de longe. Je m'approcha de la porte doucement avec confiance une carotte dans la main droite et le licol dans l'autre. Il recula, la panique se lisait dans ses yeux, il se cabra et chargea malheureusement pour lui la porte était toujours fermée, il dérapa en s'arrêtant et repartis ses tours de galop en changeant systématiquement de sens. Je passa ma main par dessus la porte et lui tendis la carotte rien à faire, il me tuer du regard et ne jeta même pas un coup d'oeil à la friandise. Je m'assis devant sa porte en gardant la main levée pour qu'il aperçoive la nourriture et non moi. Je jouais avec le licol et m'amuser à compter combien de temps il mettrait pour venir attraper la carotte. Je l'entendait marcher et se cabra pendant de longue minute, je l'observa par une petite faille de sa porte mais lui ne me voyait pas. Sa robe isabelle brillait au soleil et ses crins noir dansait avec le vent. Soudain la carotte disparut, il venait de la prendre et il avait de nouveau disparut dans le fond de son box sombre. J'entrebâillais la porte et attrapa le stick le gardant derrière moi si celui-ci essayerait de me faire du mal. Il recommença son spectacle, il aurait pue faire cheval de cirque vous le nombre de fois où il se cabrait et se rebellait. Je m'approchais pas à pas e essayant de faire le moins de bruit possible. J'était à un mètre de lui maintenant, la distance qui nous séparaient été peu raisonnable mais il fallait que ej l'approcha. Doucement je lui montra le licol et Sauvage recula brutalement en tapant le fond de son box ce qui le fit sursauter. Avec lenteur je plaça le licol de façon à quand il viendrait mordre la carotte je pourrais glisser doucement les ficelles sur son chanfrein. Avec beaucoup de patiente j'attendis qu'il se décide à venir chercher sa friandise mais il ne broncha pas. Je recula doucement et lui avança. Puis je lui tourna le dos car si je reculais il me dominé, si je sortais de façon normal il restait un cheval sans plus. Puis il se décida à attraper la carotte et je passa le licol doucement sur son chanfrein e continuant à lui proposer des pommes mais dès que j'atteignis les oreilles il se cabra de nouveau et retomba lourdement à côté de moi. Le licol était rester sur lui je finis par l'attirer à moi avec mes pommes puis réussit à passer le licol en évitant de toucher les oreilles se qui était difficile vue qu'il levait constamment la tête. Je le fis marcher dans le box derrière moi et le sortis. Il sauta la marche de son box et sortis au galop avec un hennissement sourd. Puis je le fis marcher devant le box à plusieurs pour qu'il apprenne à me suivre, il se braqua et recula mainte et mainte fois mais je gardais confiance. Puis je m'amusa à le faire rentrer dans son box et sortir pour qu'il évite de se charger mais rien y faisait il me prenait constamment la mains. Alors je pris le stick et le plaça à un mètre de son poitrail vue qu'il ne le supportait pas il ne passa pas la frontière et sortis au trot doucement. J'avais enfin réussis après tant d'essaie j'était vraiment heureuse. Mais cela dit sans le stick il continuerait à sauter sa marche. Je pris mes affaires et l'emmena vers le rond de longe doucement sans même regarder se qu'il faisait pour qu'il comprenne que ses bêtises n'attirer aucunement mon attention.

Par cette douce matinée de Janvier, Lys avait décidée de rendre visite à son amour. Comme d'habitude, il était au fond de son box. Je sortie une pomme de sa poche et lui proposa mais Sauvage resta impasible. Froid comme le marbre, distant comme la lune et le soleil. Ce cheval était vraiment un spécimen hors norme. Décidée je fit comme la vielle et se rassit devant la porte du box tout en tendant sa main vers le haut avec la friandise. Je n'attendit pas longtemps avant de sentir les poils du naseaux lui chatouiller la main, le souffle chaud sur sa paume. Je me releva doucement mais l'étalon recula moins brusquement que d'habitude mais avec toujours cette force mais aussi une certaine vulnérabilité qu'il cachait. J'ouvris doucement le verrous de la porte avec un léger grincement avant de se faufiler dans le box. J'attrapa le licol et l'ouvrit afin de permettra au cheval de passer la tête dedans en même temps que de manger. J'avais prévue un licol plus grand pour éviter de lui toucher les oreilles lors du passage de la têtière. Je fis un pas en avant et lui un pas en arrière nous étions bien synchroniser mais dans le mauvais sans. Il était bloquée enfin au bout de son box il se cabra à plusieurs reprises, mais je resta plantée là à l'admirer. Je lui tendis le licol mais il hésita avant de faire un écart. Essayant de me remettre dans un bonne axe au cas où ou celui-ci lui préparait une mauvaise surprise elle pourrait partir. Sauvage hésita pendant un long moment mais se laisse faire. Je lui mis une couverture sur le dos délicatement mais il ne bougea pas, c'était un point positif, elle gagnait du terrain. Je recompensé mon cheval avec une friandise. Je pris une brosse pour le nettoyer mais je fus trop ambitieuse au moment où elle le toucha il fit un immense écart dans un hennissement sourd de panique. Je dus lâcher la brosse et suivre au maximum le mouvement de l'équidé pour ne pas tombas. Furieux Sauvage se cabra comme à son habitue. Je voulus m'approcher de lui pour le calmer mais il recula. Il se méfiait de moi. J'étais bête ainsi j'avais perdue une partie de sa confiance qu'il commençait seulement à me donner. Décidée je le fis sortir de son box au grand trot avant qu'il saute la marche. Il s'était calmée, il ne sortait plus comme un fou mais cela ne me plaisait toujours pas, alors je le fis rentrer et tenant d'une main le stick et de l'autre la longe, je le sortie du box doucement, il ne out sauter la marche mais trébucha dessus. Et il repartis au galop effrayée. Je l'arrêta devant pour qu'il sente la marche avant de partir au petit trot vers le rond de longe.

Cette journée avait déjà mal commencée pour moi. Il fallait que je trouve un moyen de me changer les idées. Malheureusement tout le monde faisait quelque chose et moi rien. J'étais là perdue comme d'habitude. J'étais seul! Un être en ce moment était seul et perdue comme moi. Décidée à je partis voir Sauvage. Ce magnifique étalon aux allures de rois capricieux.
Aujourd'hui j'étais motivée je voulais sortir Sauvage de son box et du travail basique que lon faisait. Je voulais qu'il découvre la nature.
Il était au fond de son box, la tête contre le mur tournant le dos à la porte. Il m'entendit arriver ses oreilles bougèrent légèrement. Je croisa mes bras et posa ma tête dessus, sur le rebord de la porte. Il me jeta un bref coup d'oeil. Je l'appela doucement tout en sortant une pomme de mon sac.
- Sauvage... Sauvage... vien mon beau. Regarde ce que je t'ai apportée c'est pour toi.
L'étalon se retourna et me fixa longuement. Déçus par son manque de réaction je m'assis contre la porte du box. J'ouvris mon carnet où la veille je l'avais dessinée. Mais cette fois ci j'y écris ce que je faisait. Comment il évoluait et pourquoi j'aimais Sauvage. Au dessus du papier une ombre apparut. Il c'était enfin décidée à avancer. Doucement je leva la main pour lui donner un morceaux de la pomme. Il l'a prit et ne recula pas. Je me leva tout en faisant quelque pas en arrière pour ne pas l'effrayer. Les oreilles en alertent il continua de me surveiller tout en jetant de furtifs coup d'oeil aux oiseaux. Je fis coulisser lentement le verrou de sa porte, puis je pénétra dans le box. Il s'y placa au fond tout en mettant face à moi. Il avait toujours sa couverture que je lui avait mise. Heureusement le massage que je lui avait fait, avait porté ses fruits. Son antérieur n'était pas engorgé.
Je lui donna le reste de la pomme et fit glisser ma main le long de son chanfrein. En commençant par le naseaux puis le chanfrein ainsi que les yeux tout en évitant de lui toucher les oreilles. Au boud de quelques minutes, il recula brusquement et se cabra devant moi. Je recula sans lui tourner le dos et alla attraper le licol qui se trouvait sur la porte.
Je le pris et m'avança doucement vers Sauvage avec précaution. Je tint le licol d'un bras et de l'autre je l'ouvris sauf que cette fois si, il n'y avait rien dans ma main mais il se laissa tenter et je pue lui passer correctement le licol. Fière de moi je lui tendit une friandise pour qu'il comprenne que ses effort étaient bien.
Il me suivit calmement pour sortir du box au petit trot mais cela me convenu. Puis je partie faire avec lui une balade.

Aujourd'hui c'était une magnifique journée. Il avait neigé tout la nuit, maintenant le monde était blanc, pur. J'étais décidée, il faut arrêter de montrer à Sauvage que j'ai peur de lui. Il faut qu'il comprenne que je ne suis pas méchante et que je veux son bien. Je marcha le long de l'allée en poussant une brouette dans laquelle se trouver un sac de copeaux de bois et une pelle. Je savourait le champs des oiseaux. On entendait un peux plus la rivière qui se situait sur ma droite. Je vis le box de Sauvage. Et je m'arrêta net. Le bel étalon avait la tête au dessus de la porte surprise je resta là à le regarder. Au bout de quelques instant je repartis dans sa direction avec une lueur d'espoir dans les yeux.
Quand je m'approcha du box, Sauvage s'était reculée mais il se trouvait au milieu de son box et non au fond.
-Bonjour Sauvage. Comment tu vas? Aujourd'hui je vais nettoyer ton box pour que tu t'y sente mieux.
Je posa le licol sur la porte, le sac de copeaux à côté et je pris la pelle. J'hésitait à le tenir un licol pendant que je faisais son box... Non, je devais moi même lui faire confiance! Comment je pouvais lui demander de me faire confiance si moi je ne croyais pas en lui?! J'ouvris la porte en grand Sauvage avait une chaine mais j'avais toujours peur qu'il s'échappe avec. Je pénétra dans le box et commença à enlever les crottins tout en fredonnant quelque chanson douce. Sauvage me regardais du coin de l'oeil tout en faisant mine que je ne l'intéréssé pas. Je continua mon travail sans se soucier du cheval. Quand je m'approcha de lui pour enlever ses besoins qui était dans son coin il se poussait. Fière de moi et mon travail achevé, je lui mis des copeaux dans son box avec une belle couche. J'avais remarquée qu'il se roulait dedans.
Je mis quelques friandises dans ma poche et m'avança vers Sauvage, tout en lui tendant la main.
-Je ne veux pas te faire de mal, Sauvage.
Comme la veille je lui caressa le chanfrein et fit doucement glisser ma main sur son encolure avant de descendre le long de son antérieur droit. Je vérifia qu'il n'y est aucun problème par rapport à sa chute de l'avant veille. Puis ma main glissa vers le passage de sangle. Sauvage fit mine de me mordre, je retira calmement ma main et lui posa sur le garrot et massa doucement son dos. Avec des mouvements régulier, mai j'avais l'impression d'avoir fais ça toute ma vie. Mes doigts dessiner de petits cercles. L'étalon se détendit et se reposa. Je vis qu'il commençais à reprendre ses idées et qu'il allait bientôt fuir mon contact alors je recula et m'assis à l'opposer de lui dans son box. En lui tendant la main avec une friandise. Il avança doucement avec précaution comme si son box était un chemin miné. Pas à pas, il se rapprocha de moi la tête haute. Une fois à un mètre environ de moi, il tendit l'encolure et fut forcer de faire un pas en avant pour attraper sa récompense. Je lui caressa le bout du naseaux et ala chercher une brosse douce. Je lui présenta et lui fit coulissait le long de sa tête. Puis la brossa passa sur son encolure descendit le long de ses antérieurs, elle passa sur son dos tout en évitant le ventre. J'hésita à faire les postérieurs, il serait facile pour lui de me taper, mais je m'enleva vite cette pensée et continua de le désensibilisé. Une fois arriver au crin je voulus lui démêler la crinière, mais c'était impossible! C'est crin était emmêlé c'était des noeuds fait sur des milliers de noeuds. J'attrapa le ciseaux qui était dans ma malle et je lui égalisa la crinière. Elle n'avait pas belle allure alors je pris le temps de lui faire une crinière en brossa. J'avais du mal Sauvage se retournait vers moi tout le temps pour vérifier se que je faisait. Une fois arrivée à la queue je lui coupa le bout qui était trop long, il aurait pue se blesser avec durant le travail. Et je le lui démêla. Fière de moi je lui donna une carotte et lui montra le licol avec ma mains à l'intèrieur comme d'habitude et Sauvage se laissa tenter. Nous sortîmes du box au petit trot. Cela était parfait il comprenais que sortir n'était plus un danger pour lui et nous partîmes vers le rond de longe.

Aujourd'hui je me sens vraiment bien. J'ai mes deux montures au box qui semble avoir passé une bonne nuit. Je n'ai pas entendu de hennissement curieux et tout semblait calme chez les chevaux. Ma journée à mal commençait dans ma vie personelle mais en ce qui concerne ma passion tout va bien se passer. Je vais commencer par Sauvage, gardons Fuego pour la fin. Je marchais dans l'allée tout en sifflant un chant d'oiseaux que j'aimais particulièrement cela m'aidait à rester zen. Et avec Sauvage j'en avais besoin. J'aperçut les box de loin et je vis que mon étalon doré avait la tête par dessus la porte. Il faisait vraiment des efforts ces jours si. Quand à Fuego je ne vit rien mais ça ne m'inquiéta pas pour autant. Enfin devant les écuries je vérifia celui de l'hongre où il dormait allonger. Quant à Sauvage, il me regarda et fit un faible hennissement toute contente je m'approcha de lui.

Sauvage avait la tête haute, les oreilles pointait vers l'avant et il me regardait avec curiosité comme s'il ne me connaissais pas. Surprise je tendis légèrement la main vers lui. Je lui toucha le bout du museaux et je remonta doucement sur le chanfrein jusqu'à ses temps que je lui massa. J'avais remarqué qu'il aimait ça mais pas longtemps. Il se dégagea et regarda en direction de son camarade qui dormait paisiblement. Je pris ma brosse, mon peigne et un cure pied et le licol. Je pénétra dans le box de l'étalon qui était assez sombre. Je me jura de lui fabriquer une fenêtre au fond pour qu'il puisse respiré un peu. Aussi lunatique que d'habitude l'équidé semblait calme ce qu'il me surpris. Je lui passa doucement le licol sans difficulté et je le fis sortir de son box au petit trot comme à son habitude. Je l'attacha à un anneaux accroché dans un mur de pierre qui laissé échappé quelques brins d'herbes. Le cheval pie s'occupa tout de suite de leur cas. Je le brossa comme à mon habitude doucement tout en fredonnant la berceuse que me chantait ma grand-mère. Je décida même de brosser pour la première fois le ventre de l'étalon. Je posa la brosse et fit mine que c'était normal. Mais Sauvage essaya de me mordre. Ou plutôt il faisait semblant. Après plusieurs tentative de sa part je me releva.
- Ne joue pas à sa avec moi Sauvage, sinon nous n'allons pas être amis tout les deux.
Je lui mis une tape sur le museaux qu'il n'apprécia pas forcément puis je me remis au travail. Il grinça des dents pendant tout le reste du pensage. Je lui démêla la crinière et la queue avec énergie. Heureusement que la veille je lui avait faites une crinières en brosse parce que c'était déjà bien emmêlé. Enfin je saisit le cure pied et descendit le long de son antérieur mais au lieu de me le donner, il mit tous son poids dessus. Je le poussa avec mon épaule. Et il fut obliger de me le donner. Par chance pendant que je lui faisait les postérieurs il ne décida pas de mordre. Il était bien trop occuper par son herbe. Une fois propre je passa à l'harnachement.

Je voulais qu'il finisse de muscler son dos avant que je le monte pour la première fois. Je lui enleva le licol que je lui mis autours du coup et je lui passa le filet. Il fut surpris par se premier contact avec le mort qu'il mâchouilla pendant un bon moment. Heureusement il était en plastique et a double palette se qu'il lui permettait d'avoir quelque chose de confortable qu'il pouvait mordre. Je fis un noeud avec les rênes et j'alla chercher le surfet. Je lui posa sur le dos. L'étalon me regarda mais sans grandes réaction puis je le sangla. Sauvage fit mine de me mordre et il se reprit une tape sur le museaux alors il grinça des dents. Une fois qu'il fut près je le détacha et nous partîmes ensemble vers le rond de longe accueillit par le hennissement de Fuego...